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LE TANGRAM

SE RECONSTRUIRE DE TOUTES PIÈCES

Avec « Le tangram», l’EPCC s’engage dans une esthétique marquée reflétant ses nouvelles orientations. Le changement de direction récent et la création d’un nouveau projet artistique et culturel est un tournant important dans l’histoire de la scène nationale. Le choix visuel du tangram évoque clairement la construction. Ce jeu très créatif offre une multitude de possibilités à partir d’un nombre restreint d’entités. Il symbolise la démarche d’exploration et de recherche entreprise par l’EPCC, à l’heure où il pose les premières pierres d’une nouvelle histoire.

DÉFINIR DE NOUVELLES FORMES

Cette ouverture dans la variété de formes exprime la volonté pluridisciplinaire de l’EPCC et son intérêt pour les créations mêlant les différents domaines. À la manière des pièces du puzzle, les disciplines cohabitent pour donner naissance à des formes inédites et infinies, chacune porteuse d’un sens propre. C’est l’illustration de la vision de la création contemporaine comme une multitude de points de vues singuliers défendue par l’établissement.

IL ÉTAIT UNE FOIS…

La dimension poétique est introduite par l’utilisation des animaux. Ils appellent l’imaginaire des contes et légendes et renforcent l’idée du commencement d’une histoire. Le tangram prend vie lorsqu’une partie du puzzle devient réalité, et les formes géométriques qui s’animent se font le véhicule de l’identité de l’EPCC. En chinois, « tangram » peut se traduire par « les sept planches de la ruse », c’est donc logiquement que le renard s’impose comme l’avatar de cette première saison. La notion de transformation amène celles du costume, du rôle, et donc de la mise en scène et du spectacle.